Cela fait maintenant plus d’un an que les machines, sur le site de Besançon, ont été mises hors tension par une décision de l’employeur.
Même restriction pour les cafetières par services ou individuelles ( type senseo ). Par contre les directeurs peuvent conserver les leurs, c’est bien une inégalité de traitement dont nous sommes coutumiers chez Flowbird.
Les cafés sont maintenant … virtuels ! En effet, le service RH a mis en place des “pauses café virtuelles” via google meet.
Le gestionnaire des distributeurs, dont la plupart des autres entreprises clientes n'ont pas arrêté leurs machines, a même demandé le remboursement des pertes d'exploitation.
Cette mesure vient du DRH Flowbird atteint d’une psychose coronavirus disproportionnée (il n’est pas le seul) alors que nous disposons de masques, de gel hydroalcoolique et qu’il y a beaucoup de salariés en télétravail.
Cette psychose de nos dirigeants, côté industriel, avait culminé l’été dernier avec l’obligation de porter masque et visière (ceinture plus bretelle). Une psychose qui génère également des mauvaises décisions, par exemple la direction interdit les réfrigérateurs qui peuvent transmettre le virus et les remplace par un autre transmetteur en imposant le port des gants.
Autre élément, le nettoyage est obligatoire, ce qui semble une bonne idée sauf que le produit mis à disposition n’est pas à usage domestique mais industriel, loctite SF7840 qui contient un produit toxico reproductif: la toxicité du 2-méthoxy-1-propanol (1PG2ME) et de son acétate classés toxique pour la reproduction (atteinte spermatique).
Bien entendu ce sont les salariés Flowbird qui travaillent dans des conditions de sécurité sanitaires disproportionnées car les décideurs sont en télétravail, chez eux avec machine à café, sans masque ni gants ni produits dangereux.
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